mes poemes

Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 21:23

Le passé m’a fait un doux présent

De la ville des ponts suspendus

De la ville des aigles, êtes venue

Vous, il y a quelques temps

Vous seule pouvez comprendre

Sans s’y m’éprendre


Je remercie Constantine

De cet amour naissant

Plaisir d’être votre amant

Dans ces jeux de libertine


Plus que des sensations

Des émotions


Ma peau en besoin de vous

Vous avez su me conquérir

Et moi votre con quérir

Sans dessus dessous


Près de ce pont d’Avignon

Mans et Menton


J’ai encore tant à vous donner

Maîtresse de ma destiné

Me remettre à Flo

Recommencer crescendo


Un signe avenant suffit

Et mon âme revit


D’un amour attachant

En cadeau, or ne ment

Dollars en art du dol

Revenez plus frivole

Prêt nom en partage

J’en rage


Appel du cœur en sincérité

Tout de vous en confidentiel

Rousse, éclaircissant mon ciel

Je ne peux, ne veux vous oublier


Excellent accueil en réserve

Comme cette verve

Tant de grains de toute beauté

Et votre fesse droite peu altérée

C’est à vous que je m’adresse

Car vous êtes ma faiblesse


Toujours je me souviens

Et rien

 

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Mardi 7 avril 2 07 /04 /Avr 16:15

sa seule richesse est son corps

C’est dire le peu de valeur

LOLL à mort

Corps en labour pour seul labeur

Quelles sont ses forces endogènes

aucune faculté humaine

vénalité qui prémunit du besoin

Scorpion dans le fion

Salope, on suppute

ou lope en rute

je me fous de sa sociale position

de ses diverses ablutions

Borgia à guichet ouvert

Plus dégueux que pervers

terreau de maladies honteuses

Elle se croit meneuse

Plus qu’une icône,

une e-conne

même pas bonne

elle déconne

Cogne mes sens
ce n'est que décadence
Elle est grave et approche la poussière

Pas de quoi être fière

Beauté charnelle éphémère

A la fin du temps sera derrière

Je tej sa face de my space

L’Amour folie n’a pas de fèces

Déjà out comme la culture geek

Adam et Eve avaient déjà un Apple !

Elle vit dans l’opulence trash de la gicle

Eden maculé, impression de deuil

loin, très loin de mes désirs

Ce n’est pas mon délire

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Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 21:36

Fontaine je ne boirai jamais de ton eau

Eau à verse ou flocons blancs en approche

Fontaine je ne boirai jamais de ton eau

C’est claire comme de l’eau de roche

Fontaine je ne boirai jamais de ton eau

Par crainte du dégât des eaux

Alluvions en allusions en illusions

Fontaine je ne boirai jamais de ton eau

Attitude bien prétentieuse ou traduisant une présomption

Par précaution ou par abjection

Raisonnement spécieux emprunt d’à priori

Fontaine je ne boirai jamais de ton eau

Alors quelle eau buvez-vous, ami(e) ?

Erreur d’appréciation, incompréhension,

Peut être que l'expérience ne se trompe jamais ?
En évasion, un jour, une fois, puis deux… mais

Irresistible envie, Fontaine j’ai bu de ton eau

Jamais ma soif ne fut ainsi étanchée, mon plaisir si intense

Je me suis délié de ma parole mais pas de celle que j’ai donnée

Cette eau s'aime d'une nouvelle naissance en jouvence

En ablution, j’ai ouvert mon esprit vers l’altérité

Pour mon intellect, ma conscience, mon empathie, ma chair

Fontaine est désormais source de ma vie et j’en suis fier

Comment ai-je pu vivre sans ?

J’aurais pu passer à côté de ce qui est le plus précieux

Ce filet d'eau est devenu torrent

Eau si douce et si riche, séditieuse c’est délicieux

J’avais tord dans cette abstinence d’histoire d’eau

Pourtant toi fontaine, je ne boirai jamais de ton eau

Pourquoi ne pas en profiter ? La vie est trop courte !

Justement, au risque de rendre ma vie encore plus courte

 

Copyright ©Tous droits réservés Ys - 2008 texte déposé n° WVM 3133

 


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Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 21:53

Une forme nue qui tend les bras

Pauvre petite chatte qui avait froid

Allons à la petite chatte aux trésors

Rêvant de gros matous lorsqu’elle dort


Au Nord, il y a les corps ronds

Au Sud, la chaleur s’évapore

Courez la prétentaine, en évasion
Venez jusqu’à moi, à bon port


Chatte, comme une envie de toit

Se blottir à l’âtre de mon cœur

Avec bonheur partager ma chaleur
Doux et tendre tourments en ébats


Chat s’étire de douces langueurs
Animal qui éveille vos ardeurs

A poil dévoilant leurs atouts
La queue valse au doux minou


Crépite le feu de ma cheminée

En votre corps latent ainsi vivifié

Miaulements sous les assauts

La chatte a dévoré mon oiseau


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Mardi 17 mars 2 17 /03 /Mars 15:18

Bel adage à mon endroit, loin des yeux, loin du cœur

C’est bien ainsi car votre présence est douce douleur

Sentiments ambigus, valence des sensations

En perdition, âpre dichotomie de cette situation

La douceur de votre voix m’enchante telle une sirène

Vigilance me préserve, je ne sais où cela nous mène

Pourtant vous me manquez dans ce repos salvateur

Impossible union dont mes pensées sont esclaves

Ce bonheur serait, pour d’autres, source de malheur

Enflammé par votre attitude naturellement suave

Le charme de votre gestuel met mon âme en alarme

Vos touchantes et délicates attentions me désarment

Dans cette foule, on se recherche, s’embrasse du regard

De petits signes furtifs, évocateurs, provocateurs

Je n'ai pu retenir mes irrépressibles élans de cœur

En un enthousiasme, en un instant, nos mains s’égarent

Besoin irrésistible de se toucher, comme se caresser

Emporté innocemment par le souffle de notre volupté


Je succombe, avec vous je suis perdu, de vous éperdu

Agréables folies, absorbé par votre ouatée présence

Plaisirs en attente avec cette ingénue, qu’en apparence

Concédez moi le peu qu’il vous reste de vertu

Faire grandir en partage avec vous ce désir déroutant

La douleur de mes songes est de devenir votre amant

Sous votre charme dévastateur, nécessaires détours

Révélations du non-dit au sablier de notre amour

votre silence est d’or, si douloureux qu’il me saigne

Faut-il qu’au sang de mes émotions, je me baigne

Laissez-vous vous perdre dans l’azur de mes yeux

Amour caché, que j’appelle intensément de mes vœux

Où vous voulez, comme vous voulez, quand vous voulez

Mais épargnons notre entourage de cette illusoire vérité

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 18:12

Femme, étendez-vous dans la campagne

Ou sous le drap, peau aux couleurs merveilles

corps en insurrection je vous accompagne

Vous régentez nos sens en éveil


Contre moi votre chair attendrie,

Prodiguant mille infamies

L’amour est dans nos bras

Nos soupirs entonnent l’hymne à la joie


Aux âmes, si coquins, aimons, baisons

que ma sève si pure, abreuve votre sillon

En patrie hot, prenez mon étendard

Voyez votre triomphe et ma gloire


Le dard turgescent est levé

L’instant de gloire est arrivé

En résidence à votre raie pubis

pollinisation de votre fleur de lys


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Jeudi 8 janvier 4 08 /01 /Jan 18:23



Vœux nus comme Eve et Adam
Ch’veux renversant femme sur un corps d’
amant

je veux connaître l’âme en vous

Je velours de tendresse pour vous

je vous veux, avide, non vide, avec une âme

Je veux un lys pur pour accueillir votre corps de femme

Je vous veux trop impérieuse

Je vous veux, même avec impair, très rieuse

je vous veux, en égarement, à tous les égards

je veux contempler votre corps, incarnation de l’art

Je veux m'inscrire dans vos pensées

Je veux partager des passions insensées

Je veux être la raison qui fait battre votre coeur

Je veux être celui qui sèche vos pleurs
Je me veux, entre vos cuisses, ouvertes, à mon offrande

Je veux que votre jouissance soit grande

je veux toucher votre Aveu

Qui veut 


Que Swanie et Foldenvy   m’excusent, si j’ai répondu que partiellement à leur attente, en ne répercutant pas sur d’autres .
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 16:46

C'est la belle nuit de Noël
Ta dentelle étend son blanc sur blanc

douce apparence sensuelle

d’un érotisme envoûtant
Ta fragrance en atmosphère

pour de longs préliminaires




Petite Maman Noel

Quand tu donneras ton essentiel

Avec tes baisers par milliers

N’oublie pas ma petite pensée

Mais avant de jouir

Il faudra bien te dévêtir

Ton corps sera en émoi

En me consumant en toi



Et ne tarde que mon vit se lève

Pour affirmer ma présence infatuée

Le plus beau joujou que tu as vu en rêve

Et qui se trouve à ta portée

Petite Maman Noel

Quand tu donneras ton essentiel

Avec tes baisers par milliers

N’oublie pas ma petite pensée

Mais avant de jouir

Il faudra bien te dévêtir

Ton corps sera en émoi

En me consumant en toi




Le marchand de sable est passé
Les enfants vont faire dodo
Et nous allons pouvoir commencer

Caresses licencieuses à notre peau

Au son des murmures et des soupirs

Générosité de désirs en plaisirs




Petite Maman Noel

Quand tu donneras ton essentiel

Avec tes baisers par milliers

N’oublie pas ma petite pensée

Mais avant de jouir

Il faudra bien te dévêtir

Ton corps sera en émoi

En me consumant en toi



Et quand tu seras sur ton beau nuage

De séduction en avide passion

enfièvre mon corps volage

et jusqu’à la déraison

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Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

votre attention


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