Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 16:48

Nullement songe en Gynarchie, la puissance et la souveraineté sont féminines. Elles marchent sur la lune, la votre ! Sans adhérer à l’extrême concept castrateur de l’inutilité sexuelle des mâles, force est de constater que les femmes souveraines, ayant cette immanence qui transcende, donnent le paradis ou l’enfer, la raison et déraison.


Je ne blâme pas ceux qui souhaitent être travestis à la chair de poule. A
utrement votre… et ceci garce à toi. Terrassez-moi en corps ! Ceci ne correspond pas à ma nature, non merci. "  Enlacez moi ! " est l’affaire des espérés en perdition, piège abscons des esprits égarés, ou domestiqués dans un tourment sans passion.

 

Hors également de la vision réductrice SM, préférence est accordée à la D/s qui ouvre tout le champ des possibles.


 


Celui, qui se soumet aux règles de ces raies publiques,
adhère à cette philosophie, qui doit être un principe de vits consistant à donner du plaisir plus que de se faire plaisir, sans prétention mais avec ambition. Vivre une vie de passion n’est pas vivre égoïstement.

Dans ce cadre, par un petit régal de verve parodique, Elles invitent à cette liberté émotionnelle de la décadence Rome antique qui favorise l’accession à un art décalé du jouir. Déesse sous le vent des ardeurs fait jouer l’imagination en suggérant un fond de créativité quasi inépuisable. Elles gèrent la sexualité, jouant de stimuli bien précis. Leurs jeux mènent parfois à un délicieux état de stress dans lequel se développe un sentiment de vulnérabilité, ébranlés dans nos certitudes et nos convictions. Paradoxalement, le contrôle de l’acquiescement permet de rendre explicite ce qui n’était qu’implicite. La rhétorique des corps, les postures élaborées en codes, conduisent à cet amour attachant.

Sous ces Elles, i
l appartient, à ceux qui s’y prêtent, d’anticiper, avec une indécise exactitude, les souhaits, les désirs, dans une attention de tous les instants où le rire permet de bannir les accents graves dans les phrases, pour faire tomber le coté obscure de ce tumultueux échange.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Commentaires

C'est un délice de vous lire

et vivre émotionnellement vos passages

si merveilleusement souligné avec votre adresse d'écriture...

Je ne peux m'en passer à les relire et les partager

en mettant votre blog en lien à tous mes ami(e)s !

commentaire n° :1 posté par : ZEN le: 06/07/2012 à 16h35

Texte Libre


"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)
Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?

votre attention


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