Samedi 28 mars 6 28 /03 /Mars 17:31

Féminisation ou masochisme, subalterne bien terne, préférence au sub qui alterne. Pratique en schisme, car la faune est pour la femme ce que la flore est pour l’homme. Cire, pince, bondage provoquent mon incompressible hilarité par abjection de la banalité, pâle scénographie. Même signification que "cul ôté ". Trouvez d’autres parodies, mais qui participent à la charge émotionnelle. Sortir de ces lieux trop communs, sans vénalité, ni perversion zoo, pédo ou nécro. Puisez dans votre imaginaire ou en d’autres sources, y compris liturgique. Les mises en situation provoquent plus d’intensité que tous les artifices ou accessoires, utilisons judicieusement tous les aspects érotiques du jeu.

 


Dans ces conditions, Belle et re-Belle, prenez toute liberté, addiction sans C être addition. Dessaisissement de soi sans subir le sort de Tirésias qu’il soit vu par Ovide ou par Phérécyde, ni le châtiment d’Ixion. Que vos pensées s’évaguent vers l’illicite moralité. Que s’expriment librement, en sentiments pluriels, vos dérives, vos outrances. Que triomphe impunément votre impudeur en extravagance. Ma pleonexia, en délicieuse coïncidence, produit jouissance, en incontinence, à votre noosphère.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 12:10

Vous avez beau être la plus belle, si vous avez un vil caractère. Pourtant, je suis sensible à la belle chair. Indifférent à votre charme si vous manquez d’humanité. Vos soi-disant atouts ne seront, pour moi, que banalités. En constance, la beauté du cœur a raison sur tout corps, même pour un instant je ne peux concéder un tel effort. Conditions pour que je puisse prendre plaisir dans le vôtre, pour que l’incommensurable passion devienne nôtre.


S’il en est ainsi, alors, j’accorde une grande attention à vos états d’âme, d’autant qu’il est parfois dangereux d’être femme. Vos avantages sont autant de pièges, que certains, avec brutalité, veulent en faire le siège. Bien sur, vous avez d’indéniables pouvoirs sur l’homme. Certaines vont même, par jeu, en faire des bêtes de somme. Sexe, dit faible, en ascendance. Plus que la force physique, votre préséance en importance. Sans sine qua non, concessions d’un plaisir, en la circonstance, comme votre absolue satisfaction en assurance. Il ne me déplaît pas non plus que la bête en moi s’éveille, ainsi vous apporter en d’alternantes attitudes d’autres merveilles.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Samedi 21 mars 6 21 /03 /Mars 22:18

Coeur fragile aux rêves d’argile, tant de femme ont su séduire mon âme. Nulle a pu suffire à ma libido, insatiable envie de corps à corps. Etre votre olisbo, je ne peux résister à cette douce fièvre. En Homme, plein de sève en toutes saisons, ne sait se passer de votre nourriture. Comprenez que je ne puisse prononcer des mots à nuls autres pareils.
Ma langue bohème aux orchidées sauvages, langue éprise d'aventures où mon âme peut s’abreuver des plus doux nectars. Mon gîte en votre sylve, addicte de votre arôme musqué et profond. Toutes en singularité, forteresse, Diane chasseresse, Princesse, libertine, coquine, soumise, charmante effeuilleuse, nymphe et nymphomane, comblées de prouesses au fond de votre noblesse, parfois complaisantes avec les rares pannes de mon sex à pile. Quelquefois, mon regard vous quémandait, pénétrer dans votre soyeux palais et me comporter comme un fier et noble seigneur.
Ce n’est pas la plus belle, ni la plus charmante qui m’a laissé, à ce jour, le plus beau souvenir, mais je n’en oublie aucune. Plaire à toute est utopique et c’est tant mieux, car certaines ne recueillent aucune de mes attentions. Au demeurant, encore trop ont ignoré mon désir d’échange et de partage, me laissant dans la tristesse la plus absolue. Quête sans fin, tel un affamé, qui pourtant n'a nul besoin, seulement l’envie de donner du plaisir. Pour n’avoir jamais connu une telle circonstance, il me serait agréable qu’un jour mes larmes coulent sur mes joues, pour vous, en épargnant mon cœur afin qu’il ne saigne.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Vendredi 20 mars 5 20 /03 /Mars 22:42

Elan vital pour quelques ailleurs, si belles et cybeles aux ardeurs attendrissantes ne délaissant aucun de leurs désirs, elles s’abandonnent au souffle chaud de l’autre. Le plaisir s’élève en finesse. Leur corps alanguis attendrit mon regard. Offertes, lèvres ouvertes, de longs frissons parcourent vos corps dénudés. Belles formes ondulantes, aux pointes dressées, que monte en vous l’ivresse sensuelle la plus délectable. Multiples frémissements sous la chaleur de vos caresses, l’une se laissant étourdir par le soyeux de la peau de l’autre et réciproquement. Laissez mon regard vous usurper, souligner avec délectation les moindres courbes de vos corps. Dans la jeunesse de l’été, je vous contemple. Excitées, trempées, aux corps fragiles, animées de soupirs et de chants langoureux de murmures. Vous entendre gémir légèrement, douce musique. Humectées viennent en bouche, langue qui vénère, l’une à l’autre, la féminité de leur anatomie. Friandes du grain de votre peau aux mille protubérances lorsque vous vous touchez mutuellement, illustration d’autant de frissons. Vos corps sont feus de joies. Plaisirs extérieurs exaltant vos passions intérieures.


Je sens le désir monter, à trois le plaisir est bien plus grand. Je ne peux retenir mes  sensuels élans. Peaux tant convoitées, au printemps de vos plaisirs, je gourmande votre chair en bourgeon. Réunis en votre secret en un même jeu, êtres embrasés, nous nous savourons encore et encore, nous gorgeant de vigueur. Vous êtes si belles dans la chaleur de l’orgasme. Possédé par vos extrêmes, aller au-delà de ces instants de grâce et de volupté érotique. Superbes impudeurs écloses, s’ouvre à mon ardente envie tout le champs des possibles. Fleurs de vices exténuées, ma prétention devient définitive. Je sonde, l’une et l’autre, votre âme et m’y dissous. Quand je n’y serai plus, restera la trace de ma vertu.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 15:50

Splendide corps au visage en déconvenues ou vice versa. Merveilleuse beauté de compagnie lassante ou inversement. La vie est si sérieuse que cet homme manque de fantaisies ou réciproquement. Femme libérée aux multiples tabous ou à l’inverse. Dysharmonie de l’ensemble et magnificence du détail ou contrairement.

Je verse dans le vice versa, surtout le vice car mon versa tilt. Dans ces équations tenter d’élucider les X. Comme le Prince, la Princesse n’est charmante que dans les contes de fée, tout compte fait. L’intégrale offre une aire moins mirifique. La réflexivité de l’âme et du corps n’est pas une constance. Beau de loin et loin d’être beau, en somme, dans ce monde binaire, manichéen.

Cette quête du grand râââle donne le vertige. Non seulement, nous sommes un tout, chacun ayant son lot des contraires ou/et est en recherche de sa complémentarité, mais, de plus, saine nature se prémunit de toute accoutumance. La réalité est impermanence. Comme nous manquons de constance dans nos prédispositions, nos aspirations évoluent. Hier était une initiation d’aujourd’hui pour demain. Ce qui est vrai aujourd’hui ne le serait pour demain, si ce n’est au prix de frustrations. La condamnation des plaisirs ne peut être une vie, mais une survie. Il est vain de croire que les situations resteront en l’état, comme l‘indique la ronde des planètes qui modifie la carte du ciel. Au demeurant évitons la course folle que nous ne pourrions maîtriser. Tout est dans la mesure alors même que la démesure est affriolante. Notre nature nous pousse à convoiter ce que nous n’avons pas. Avancer à pas de loup pour mieux croquer la richesse de la diversité dans l’altérité.

 


Plus que l’acceptation des différences hors de toute commisération, s’y familiariser avec avidité pour en connaître d’autres, comme un mouvement perpétuel. Le couple est aussi rassurant que castrateur. L’air semble plus pur à l’extérieur. Le célibat est un manque qu’il nous faut, au fil du temps, combler. La solution ne saurait, pas plus, résider dans l’amour kleenex ou la vie en communauté car la liberté des autres sont parfois des contraintes.

La vie n’a de tendre que de se rendre soluble dans ce mystère.

Par Ys - Publié dans : mes reflexions
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Mardi 17 mars 2 17 /03 /Mars 15:18

Bel adage à mon endroit, loin des yeux, loin du cœur

C’est bien ainsi car votre présence est douce douleur

Sentiments ambigus, valence des sensations

En perdition, âpre dichotomie de cette situation

La douceur de votre voix m’enchante telle une sirène

Vigilance me préserve, je ne sais où cela nous mène

Pourtant vous me manquez dans ce repos salvateur

Impossible union dont mes pensées sont esclaves

Ce bonheur serait, pour d’autres, source de malheur

Enflammé par votre attitude naturellement suave

Le charme de votre gestuel met mon âme en alarme

Vos touchantes et délicates attentions me désarment

Dans cette foule, on se recherche, s’embrasse du regard

De petits signes furtifs, évocateurs, provocateurs

Je n'ai pu retenir mes irrépressibles élans de cœur

En un enthousiasme, en un instant, nos mains s’égarent

Besoin irrésistible de se toucher, comme se caresser

Emporté innocemment par le souffle de notre volupté


Je succombe, avec vous je suis perdu, de vous éperdu

Agréables folies, absorbé par votre ouatée présence

Plaisirs en attente avec cette ingénue, qu’en apparence

Concédez moi le peu qu’il vous reste de vertu

Faire grandir en partage avec vous ce désir déroutant

La douleur de mes songes est de devenir votre amant

Sous votre charme dévastateur, nécessaires détours

Révélations du non-dit au sablier de notre amour

votre silence est d’or, si douloureux qu’il me saigne

Faut-il qu’au sang de mes émotions, je me baigne

Laissez-vous vous perdre dans l’azur de mes yeux

Amour caché, que j’appelle intensément de mes vœux

Où vous voulez, comme vous voulez, quand vous voulez

Mais épargnons notre entourage de cette illusoire vérité

Par Ys - Publié dans : mes poemes
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 18:12

Femme, étendez-vous dans la campagne

Ou sous le drap, peau aux couleurs merveilles

corps en insurrection je vous accompagne

Vous régentez nos sens en éveil


Contre moi votre chair attendrie,

Prodiguant mille infamies

L’amour est dans nos bras

Nos soupirs entonnent l’hymne à la joie


Aux âmes, si coquins, aimons, baisons

que ma sève si pure, abreuve votre sillon

En patrie hot, prenez mon étendard

Voyez votre triomphe et ma gloire


Le dard turgescent est levé

L’instant de gloire est arrivé

En résidence à votre raie pubis

pollinisation de votre fleur de lys


Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° SGJ59125

Par Ys - Publié dans : mes poemes
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 15:36

Prendre délicatement et tendrement vos fesses, faire l'amour en raie majeur à votre cul. Mes baisers en pointillés autour de votre oeillet dessinant avec application le contour et les plis. Ma bouche en coeur dépose délicatement des baisers, si doux, si intenses, si uniques et si précieux que vous en avez des frissons.
Votre cul, je le baise, je vous baise, prenant le temps, faisant durer le plaisir. Vous sentir, vous respirer, vous goûter, une éternité. Ma langue glisse, taquine, lèche, s'agite. Vous la ressentez humide et chaude. Vous gémissez, j'aime votre expression. Plus vous soupirez, plus vous m'excitez. Plus vous m'excitez, plus je bande et plus je bande, plus j'ai envie de vous donner du plaisir.
Vous caressez votre clitoris, glissez un doigt dans votre chatte trempée de désir. Vous murmurez, vous vous détendez, vous vous tendez, vous vous abandonnez, vous vous donnez, je vous donne. Zone de dépression en votre atlas. Votre abysse s'ouvre, m'appelle, me veut, en veut,... plus... toujours plus. Ma langue continue amoureusement sa folle danse, caresse, câline, frôle, bouge, s'active, tourne, tourbillonne, joue pour mieux vous affoler, vous faire jouir.


Inspiré de Hélène M….. modifié et transposé.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
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présentation



"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)

Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références

..

Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…

 

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une de mes passions

j'aime les fesses en mouvement
 
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