Lundi 5 octobre 1 05 /10 /Oct 10:00
Par Ys - Publié dans : clip
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 10 mars 6 10 /03 /Mars 09:49

ysx3Vit exsangue, gorgé de promesses. Une petite goutte fertilisante, prémices à la jouissance. Perle pour étancher votre soif d’amour. Elle s’illumine tel un superbe diamant, talisman en offrande. L’envie de vie, une vie de l’envie. Secrets d’initié pusillanimes. Eau de vie initiant la conscience, traduisant la chaleur de mes pensées. Au risque de mettre mon cœur en déshérence, ne laissez pas cette onde incolore agonir car elle est source d’avenir, de destin. De ma lame d’amant coule une larme de diamant pour jouer indécemment des dédales et parvenir aux pétales de votre fleur intime cachant votre bouton d’or à la commissure de la porte de vos plaisirs. Goutte aussi fragile que la soie, s’unissant à votre rosée, réchauffant votre cœur en émoi et mourant en votre tendre chaleur en une symphonie de soupirs et gémissements. Pour enfin, en un torrent, rugir en un chant de vie par assauts de passion, sans désir défendu.

 

Copyright ©Tous droits réservés - Ys 2009 - Texte déposé n° JYD5492

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 24 mai 7 24 /05 /Mai 11:48

Etant donné les pop up et autres pub intempestives et salaces d'over blog, qui ne correspondent pas à ma personnalité. Mes fidèles lectrices ou/et amies apprécieront
ce blog se poursuit ici :


http://charnelcerebral.canalblog.com/

Par Ys - Publié dans : divers
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 16:48

D/s

Nullement songe en Gynarchie, la puissance et la souveraineté sont féminines. Elles marchent sur la lune, la votre ! Sans adhérer à l’extrême concept castrateur de l’inutilité sexuelle des mâles, force est de constater que les femmes souveraines, ayant cette immanence qui transcende, donnent le paradis ou l’enfer, la raison et déraison.


Je ne blâme pas ceux qui souhaitent être travestis à la chair de poule. A
utrement votre… et ceci garce à toi. Terrassez-moi en corps ! Ceci ne correspond pas à ma nature, non merci. "  Enlacez moi ! " est l’affaire des espérés en perdition, piège abscons des esprits égarés, ou domestiqués dans un tourment sans passion.

 

Hors également de la vision réductrice SM, préférence est accordée à la D/s qui ouvre tout le champ des possibles.


 


Celui, qui se soumet aux règles de ces raies publiques,
adhère à cette philosophie, qui doit être un principe de vits consistant à donner du plaisir plus que de se faire plaisir, sans prétention mais avec ambition. Vivre une vie de passion n’est pas vivre égoïstement.

Dans ce cadre, par un petit régal de verve parodique, Elles invitent à cette liberté émotionnelle de la décadence Rome antique qui favorise l’accession à un art décalé du jouir. Déesse sous le vent des ardeurs fait jouer l’imagination en suggérant un fond de créativité quasi inépuisable. Elles gèrent la sexualité, jouant de stimuli bien précis. Leurs jeux mènent parfois à un délicieux état de stress dans lequel se développe un sentiment de vulnérabilité, ébranlés dans nos certitudes et nos convictions. Paradoxalement, le contrôle de l’acquiescement permet de rendre explicite ce qui n’était qu’implicite. La rhétorique des corps, les postures élaborées en codes, conduisent à cet amour attachant.

Sous ces Elles, i
l appartient, à ceux qui s’y prêtent, d’anticiper, avec une indécise exactitude, les souhaits, les désirs, dans une attention de tous les instants où le rire permet de bannir les accents graves dans les phrases, pour faire tomber le coté obscure de ce tumultueux échange.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 18:14

Femmes, d’un éclat naturel qui n'a besoin d'aucun fard, malgré le temps qui passe, vous demeurez en ma mémoire avec la force des émotions qui l’accompagne. Mes pensées sont en mode de représentation, frappées d’imprécision. La crainte d’avoir laisser mon imagination recréer le passé suscite aussi le doute. Vous avez également, très certainement, changé, mais comment ?


Souvenirs impérissables où rêves et pensées se mêlent. Comme une sorte de négation du temps, je projette ce passé dans le présent et l’avenir. Fidélité empêchée, chacune révélée comme un lever du soleil, dans un brouillard qui se lève et dévoile un nouveau paysage.
 

Souvenirs nostalgiques car vous êtes toutes singulières et un ancien souvenir n'a pas plus de valeur qu'un nouveau. Dans ma mémoire sélective : voix d’ange, approche originale et attrayante, gestes subtiles, chair chaude, parfum indiscret, désir en soupirs, plaisirs en gémir. De manière sublimée, mes réminiscences vous font l’amour insolite et illicite. Aficionado en état de sujétion sans pouvoir avoir de read, comme vouer au cul de la personnalité.


Il n’y a pas d’aura dans ces images en résonance comme des meurtrissures. L’évocation de ces signatures mnésiques m’attise. En vous, j’ai trouvé la clé des songes qui me fait flotter dans des moments conceptuels. Ce sens caché des souvenirs exprime et alimente, avec puissance, le fantasme à renouveler. Je peux aisément le vivre avec d’autres, mais c’est avec vous qu’il m’importe de le revivre. Comme une lueur d’espoir, soyons réaliste et demandons l’impossible.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 12:04

Calmant les masturbations oratoires, belle et rebelle, plus que moche et remoche, sensualité désinvolte descendant des éthers, vient à moi. Les sentiments habillent ses dernières pudeurs. Lune nue, magnificence, anse luminescente. Déposant mon regard sur son corps, je fléchis. Ma hampe ample, élevant son existence.


Attachée au serment, sans licence à nos peaux, son comportement ne peut être héréditaire puisqu’elle est sans gène. Clandestine, à gorge chaude, envie mon vit. En bouche, félicité du sentir, délicates perversités. Feu de pompier courre à éveiller le désir au si beau bas de soi. Elle manche beaucoup.


Sensible à son coté animal, qui éveille mes ardeurs, je glisse sur une cuisse de neige, gestes qui enchaînent et déchaînent la passion. Langue, en suggestion des expressions à son lys, s’éternise en son pur délice. Un con dansé d’une rare émotion. Rien n’a de sens dans l’un des sens.


L’amour est lié à la brume de la déraison, à corps perdu se prête plus que tout à des incompréhensions. Portée par les désirs, ses attitudes prennent de l’altitude, doux stratagèmes féminins en séduction. L’érotisme est ludique, outrances bucoliques, sans queue ni tête, évitant un nœud au cerveau.


Un poil différent, confident à votre croupe aux intimes succulences. Hummm naaaaan ! Non en demande plaintive, au bord du gouffre on entend rien. Transgressions en révolte joyeuse de toute forme de conversion. Le rut la prend par les reins, reprise en canon.


Hospitalière, voisine du chaos, avec moins de lucidité, j’ancre mon encre humectée de sa mouille. Flux tendu déposant ma laitance dans sa splendeur. Vérité proclamée… et encore. Le corps ne ment jamais à soi-même.

 
Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 15:52

 


Par Ys - Publié dans : clip
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 2 mai 6 02 /05 /Mai 18:59

Femme, beauté capable de vaincre non seulement les hommes, n’est inférieure ni par le corps, ni par la sensibilité, ni par l'intelligence, ni par la sensualité. A l’instar d’une déconcertante apparition, sans vers tu, vers vous, Grâce insaisissable d’un bonheur espéré, en votre présence monté des sens. Ecrire en rimes sur votre corps assigné à l'élégie, nimbé de reflets stellaires, signes en communion.


L’amour se diffuse jusqu’à la pointe de vos seins. A la Foi, regards généreux. Mais si !.. Vous et moi sont comme les deux ailes qui permettent d’élever le désir en plaisir. Dans les silences de la mélodie, contre cœur mais certainement pas à contrecœur, nous nous sublimons, si intense désir fusionnel. Corps d'une verve chaleureuse, dénouent, se nouent, c’est nous.


Se faire abuser en consentement, ébranlés en exagération, l'érotisme n'est jamais coupable. Votre fruit gorgé de suc, chargé de tant de magie, dont je m’étourdis à l’excès. Joie de s’offrir et plaisir de recevoir. Lèvres impétueuses, envahies d’une fièvre sereine, exultent de déviances votre chair. Ressentir, accueillir le joaillier sans scrupule à votre forge. Charme pur, impérial, fascinant, si vulnérable à l’airin, dés lors que le temps est en consécration.


Par la baie de l’ange, je m’insurge à la mesure de l’amant, en rythme aux confins de votre singularité. Silence dort pendant que je me déleste en vous avec densité. La verge éclate en gros sanglots de joies secrètes au coeur de la création. Trouble borderline en cette convergence des plus étroites. Apparente conclusion qui n’en est pas une, tant elle tend vers l’itération. La paix est au bout du tumulte, comme l’essentiel est la quiétude d'esprit.

Par Ys - Publié dans : ma prose... sensuelle
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

présentation



"Les pires ennemis des femmes ce sont ceux qui les adorent, ceux qui les mettent sur un piedestal. Car sur un piedestal c'est difficile de bouger." (Benoite GROULT, interview)

Alors comment puis-je faire puisque j'adule la femme ?


ici textes déposés © Ys
protégés sous peine de poursuite

Quelques photos proviennent d’Internet. Si certaines sont les vôtres, veuillez me contacter, je les retirerai immédiatement ou indiquerai vos références

..

Que mes écrits reflètent avec exactitude ma personnalité débauchée, tendre, et…

 

Il y a  1   personne(s) sur ce blog

Commentaires

une de mes passions

j'aime les fesses en mouvement
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés